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Arnold Schwarzenegger, ssa carrière, son accent, son anglais

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Connu autant pour son physique que pour son accent, culturiste, acteur (Conan, The Terminator), entrepreneur à succès avant même d'être devenu célèbre, marié à une Kennedy, et devenu gouverneur de Californie, Arnold Schwarzenegger sort du commun. Il est certainement une des incarnations du rêve américain. Ayant fini de lire sa biographie en anglais, Total Recall: My Unbelievably True Life Story, cela me semble une bonne occasion de raconter son parcours. Celui-ci est riche en leçons de vie et nous en profiterons pour voir comment il a appris l'anglais pour conquérir l'Amérique.

Un petit village en Autriche

Arnold Schwarzenegger a grandi dans un petit village perdu en Autriche, dans une maison sans eau courante. Les toilettes, c'était la cabane au fond du jardin et, côté salle de bain, il fallait partager l'eau de la baignoire – le puits le plus proche étant à 400 mètres.

Arnold Schwarzenegger enfant

Il grandit dans une famille stricte, avec son père, sa mère et son plus jeune frère. Il a des résultats moyens à l'école.

Ado, il découvre la musculation avec des amis. Ce sport naissant lui permet de s'ouvrir au monde et de gagner en confiance et en autonomie, ainsi que de passer du temps avec des personnes qui deviendront des mentors. Schwarzenegger se prête au jeu, tant et si bien qu'il développe une musculature impressionnante tandis que son père, qu'il admire pourtant beaucoup, voit le culturisme comme une perte de temps.

Le jeune Arnold suit l'actualité du culturisme dans les magazines de l'époque. Les articles sont en anglais et un de ses amis traduit les conseils et les méthodes d'entraînement qui y sont publiés. Le culturisme ou bodybuilding n'en est encore qu'à ses débuts mais les premières compétitions existent déjà et lui permettront de se faire remarquer.

Ce qui distingue sans doute le jeune Arnold à cette époque-là est qu'il a déjà une vision et un modèle de ce qu'il veut accomplir. Il veut partir aux Etats-Unis et il veut faire comme ses idoles : devenir champion de body building et en profiter pour se faire repérer et tourner dans des films. Il voit déjà que sa passion peut lui permettre de réaliser ses rêves.

Il sait ce qu'il veut, tandis que son éducation stricte lui a donné l'autodiscipline nécessaire pour mener ses projets à exécution et atteindre ses buts.

Au passage, une fois qu'il prend un boulot dans la salle de sport où il s'entraîne, il découvre la valeur des séances d'entraînement fractionnées ou split workout :

Being busy helping customers meant that I had no time to train the way I was used to, with an intense four- or five-hour workout each day. So I adopted the idea of training twice a day, two hours before work and two hours from seven to nine in the evening, when business slacked off and only the serious lifters were left. Split workouts seemed like an annoyance at first, but I realized I was onto something when I saw the results: I was concentrating better and recovering faster while grinding out longer and harder sets.

Les séances d'entraînement fractionnées permettent d'en faire plus, plus facilement, avec au final plus de résultats.

C'est un principe qui s'applique directement à l'anglais et aux langues vivantes, où il vaut mieux répartir son travail sur la journée pour apprendre mieux et plus vite.

Schwarzenegger continue à s'entraîner et gagne prix après prix, jusqu'à décrocher le titre de Mr. Univers, à Londres – ce qui lui ouvre la porte pour une carrière aux Etats-Unis.

Le rêve américain

Arnold Schwarzenegger arrive aux Etats-Unis en 1968, en Californie, à Los Angeles, soit en pleine période hippie, et le dépaysement est total.

Il s'inscrit immédiatement à des cours d'anglais à l'université et se fixe pour règle de ne sortir qu'avec des Américaines, afin d'être obligé de travailler son anglais.

Sur place, il est sponsorisé par un magazine, ce qui lui permet de se consacrer au culturisme de manière professionnelle. Il prend une place importante dans les magazines sur le sujet, où de nombreux articles et couvertures lui sont consacrés et où il est présenté comme l'étoile montante de la discipline.

Arnold décroche aussi un premier rôle dans un film à petit budget, Hercules in New York. Son accent étant trop fort pour que les gens le comprennent, il est doublé au montage. Le film ne verra finalement jamais le jour car la boîte de production fait faillite avant la sortie du film.

Tandis que, apparemment, les hardcore bodybuilders (fanatiques du culturisme) sont généralement faignants et cherchent à en faire le moins possible, Arnold veut se rendre utile. Ce désir d'apprendre – apprendre l'anglais, apprendre à vendre, apprendre un nouveau métier – et d'être productif est un motif qui se répète tout au long de sa biographie. Par exemple :

Plus, I was not a lazy bastard. The first thing I told him [Joe Weirder, son sponsor, NDLR] when I got to California was "I don’t want to hang around. I don’t want to take your money for nothing. Give me something to do where I can learn." He had a retail store on Fifth Street in Santa Monica that sold nutritional supplements and weight-lifting equipment. So I asked if I could work there. "I want to help customers," I told him. "It helps me to learn business and practice my English, and I like dealing with people."

Il travaille ainsi dans une boutique, ce qui lui permet de pratiquer son anglais en immersion et d'apprendre à vendre. A côté de cela, il débute une entreprise de maçonnerie (bricklaying) avec un ami culturiste, par désir d'être indépendant financièrement quoi qu'il advienne.

De temps à autre, Arnold Schwarzenegger est piégé par son faible niveau d'anglais et son accent à couper au couteau. Il nous raconte :

Becoming fluent in English was still the hardest thing on my to-do list. I envied my photographer friend Artie Zeller, who was the kind of person who could visit Italy for a week with Franco and come back speaking Italian. Not me. I couldn’t believe how difficult learning a new language could be.

Ou ses difficultés avec les contractions en anglais :

"Why do they have to make English so complicated?" There were things that I seemed unable to grasp no matter who explained them to me. Like contractions. Why couldn’t you say "I have" or "I will" rather than "I’ve" and "I’ll"?

Ou encore cette anecdote où il est à deux doigts de se faire virer d'un restaurant parce qu'il insulte la nourriture du chef par accident :

Pronunciations were especially dangerous. As a treat, Artie took me to a Jewish-Hungarian restaurant where the dishes were the same as Austrian food. The owner came to take our order, and I said, "I saw this one thing here on the menu which I like. Give me some of your garbage." "What did you call my food?" "Just bring me some of your garbage." Artie jumped in right away. "He’s from Austria," he explained. "He means the cabbage. He’s used to the cabbage from Austria."

Il progresse néanmoins grâce à ses cours d'anglais. Puis il continue à progresser davantage en apprenant de nouvelles compétences en anglais.

C'est-à-dire qu'Arnold Schwarzenegger a appris à parler anglais en étudiant des sujets qu'il connaissait déjà ou bien sur lesquels il désirait aller plus loin :

[The counselor] put together a little program for me. "Here are eight classes you should take besides English. They’re all business courses. If I were you, I would also take some math. You need to hear the language of math so that when someone says ‘division,’ you know what that means. Or ‘decimal,’ or ‘fraction.’ These are the terms you hear, and you may not understand them." And I said, "You’re absolutely right, I don’t." So I added a math class where we did some decimals and easy algebra, and I started relearning the language of math.

En parallèle, Schwarzy continue à s’entraîner cinq heures par jour et à gagner des prix en bodybuilding.

Arnold Schwarzenegger en 1974

Fort de ses succès, il tente, tel qu'il l'avait prévu, de percer dans le cinéma, comme l'avait fait les idoles de son enfance. Mais lorsqu'il tente de décrocher un agent à Hollywood pour le représenter, l'agent lui dit de but en blanc :

Look, you have an accent that scares people. You have a body that’s too big for movies. You have a name that wouldn’t even fit on a movie poster. Everything about you is too strange.

Il ne se laisse pas décourager pour autant et, de manière ironique, ce seront précisément ces caractéristiques qui feront Arnold Schwarzenegger se démarquer des autres acteurs et l'aideront à créer sa place à Hollywood.

Il débute néanmoins des cours pour réduire son accent, afin de rendre son anglais parlé compréhensible. Cela s'ajoute à ses cours de théâtre, à ses cours à l'université, à son activité d'entrepreneur et à sa préparation pour Mr. Olympia, la plus grande compétition de culturisme.

Ses cours d'accent, il les prend avec Robert Easton, un spécialiste des accents (anglais ou étrangers) qui entraînait les stars d'Hollywood à perdre leur accent ou à imiter des accents régionaux.

Il traîne à l'époque avec la nouvelle génération d'acteurs à Hollywood : Jack Nicholson, Roman Polanski, Dennis Hopper, Peter Fonda… Il n'a pas du tout leur niveau de célébrité mais passer du temps avec ce nouveau cercle social lui permet d'apprendre les ficelles du métier et continue d'aiguiser son appétit.

Le culturisme devient de plus en plus connu, jusqu'à faire la une de magazines grand public et que des documentaires y soient consacrés. Arnold Schwarzenegger est la figure la plus emblématique du sport. Promouvoir le culturisme permet de rendre le sport plus important et plus professionnel, tandis que s'en faire le porte-parole lui permet d'augmenter sa propre célébrité.

Arnold Schwarzenegger et le docu *Pumping Iron*

C'est également la période où la remise en forme (fitness) devient à la mode, avec des personnes telles que Jane Fonda et la naissance de phrases cultes telles que No pain, no gain ou encore Feel the burn.

Le culturisme est passé du stade de sport obscure à celui de culture branchée. Arnold Schwarzenegger passe alors du temps à New York. Il y fait la connaissance de personnes telles que Andy Warhol et y côtoie le gratin new-yorkais. Sa personnalité, son attitude positive et son sens de l'humour, ainsi qu'une capacité à vendre son sport et sa passion sous un jour positif, lui permettent de naviguer ce nouveau monde et de se démarquer au-delà de son physique.

Un documentaire qui lui est consacré, puis un film dans lequel il joue situé dans le monde du culturisme, le rapprochent un peu plus du statut de célébrité, tandis que les compétitions de culturisme sont de plus en plus importantes en taille et en couverture médiatique, et qu'il continue de les remporter.

Il refuse alors les petits rôles au cinéma. A l'inverse de beaucoup d'acteurs qui souhaitent percer, il vise directement les rôles principaux. Il investit tous ses gains en lui, dans son entreprise et dans l'immobilier, ce qui lui permet d'être dans une position solide financièrement. Une fois de plus, Arnold Schwarzenegger a une vision de ce qu'il veut.

You could argue that, no matter what the part, being in front of a camera was always good practice. But I felt that I was born to be a leading man. […] Of course I realized that this sounded crazy to everybody but me. But I believed that the only way you become a leading man is by treating yourself like a leading man and working your ass off. If you don’t believe in yourself, then how will anyone else believe in you?

Hollywood

Son physique et son expérience devant la caméra lui permettent de décrocher le rôle principal sur un projet de film : Conan le Barbare, une nouvelle d'heroic-fantasy publiée à l'origine dans des magazines de série B. Le scénario est à l'origine développé par Oliver Stone, puis repris par John Milius.

Arnold se prépare pour le rôle à de nombreux niveaux : en terme de jeu d'acteur mais aussi et surtout physiquement. Il doit avoir le physique idéal pour le rôle mais aussi apprendre à faire toutes les cascades lui-même car son physique est trop atypique pour utiliser une doublure. Il apprend ainsi à manier une épée, les arts martiaux ou à monter à cheval.

Il fait la promotion du film autant que possible. Arnold Schwarzenegger n'est pas qu'un acteur ou un culturiste, il est aussi un commercial. Tout au long de sa carrière, son acharnement à promouvoir les films dans lesquels il joue contribuera à son succès. Tandis que certains artistes trouvent cela « sale » ou en deçà d'eux, Arnold comprend que ses films ne valent quelque chose que s'ils sont vus par le public. Dans le cas de Conan, les fans de culturisme et les fans de l'œuvre original contribueront au succès du film, en le voyant plusieurs fois et en en parlant autour d'eux.

Le film est un succès et l'amène à être payé 1 million par film, chiffre symbolique qu'il visait et qui fait de lui un des acteurs les mieux payés d'Hollywood.

Il est réaliste sur le fait qu'il ne sera jamais le prochain Dustin Hoffman ou Marlon Brando mais réalise aussi qu'il peut forger sa place à Hollywood en jouant des personnages plus grand que nature (larger-than-life) dans des films d'action.

Cela l'amène à faire la connaissance d'un jeune réalisateur du nom de James Cameron. Le projet ? The Terminator. Le rôle proposé à Arnold est alors celui du héro, tandis que O.J. Simpson est prévu pour jouer le rôle du Terminator. Le projet emballe Schwarzenegger qui trouve le personnage du Terminator très intéressant. Il s'identifie au personnage et explique à James Cameron comment l'acteur devrait se préparer pour le rôle. Il est inspiré en cela par son expérience lors de son service militaire en Autriche et de son entraînement sur Conan.

Le personnage du Terminator fascine tellement Schwarzy que Cameron lui propose le rôle. Arnold refuse d'abord parce que jouer le rôle des bad guys au cinéma est en général perçu comme un suicide : après un tel rôle, vous serez catalogué comme un méchant et ne pourrez plus décrocher d'autres rôles. De plus, il a peur qu'Hollywood percoive cela comme le fait qu'il n'est pas capable de jouer de rôles normaux à cause de son anglais. Il finit néanmoins par accepter, avec pour obligation que son prochain rôle ne soit PAS celui du méchant.

James Cameron et Arnold Schwarzenegger sur le tournage de Terminator – James, t'es sûr que je peux pas dire I will be back?

Petite anecdote : lors du tournage de Terminator, il ne comprend pas pourquoi il doit dire I'll be back et veut dire, à la place, I will be back. N'ayant pas encore bien compris l'utilisation des contractions en anglais, il insiste, en pensant que ce serait mieux ainsi. Une fois que James Cameron, qui est aussi l'auteur du scénario, se met à lui crier dessus, le débat ne durera pas longtemps. Comme le raconte Schwarzenegger :

The truth was that, even after all these years of speaking English, I still didn’t understand contractions. But the lesson I took away was that writers never change anything. This was not somebody else’s script that Jim was shooting, it was his own. He was even worse than Milius. He was unwilling to change a single apostrophe.

Avec son scénario surprenant, ses effets spéciaux, son mélange d'action et de touches de comédie, Le Terminator fait un carton et confirme que Arnold Schwarzenegger a sa place à Hollywood.

Reps, reps, reps…

Je vous laisse vous tourner vers son autobiographie en anglais pour le reste. Vous y découvrirez comment il a rencontré sa femme (une Kennedy), sa réussite dans les affaires, sa carrière en politique en tant que gouverneur de Californie, ou tout simplement les coulisses du cinéma.

Ce dont j'aimerais vous parler avant de conclure sur sa bio, c'est du concept de reps ou repetitions. C'est sans doute l'idée la plus importante de cet article.

Peu importe que ce soit en musculation, pour jouer le rôle du héro dans les films d'action, ou bien pour préparer un discours en tant que gouverneur, Arnold Schwarzenegger utilise la même recette :

[It's all about] reps, reps, reps

(Traduction : « Tout est question de répétitions, répétitions, répétitions »)

Ainsi :

  • A sa première salle de sport, ado, il y avait un mur où chacun notait les séries qu'il allait effectuer. Une fois une série effectuée, on la barrait et passait à la suivante.
  • Pour s'entraîner à jouer le Terminator tel une machine, il s'entraînait encore et encore à recharger les yeux fermés, de chaque main, jusqu'à rendre cela automatique.
  • En préparation d'un débat politique télévisé, il s'entraînait, avec son équipe, à répondre à toutes les questions possibles et imaginables. Reps, reps, reps…
  • Pour un discours en face des Nations Unis, il s'entraînait à répéter, répéter et répéter encore son discours, pas moins d'une cinquantaine de fois, pour s'améliorer à chaque itération.

On parle de centaines et centaines, dans certains cas milliers, de répétitions, pour développer et acquérir une compétence. C'est du travail – c'est le travail ! – et c'est ainsi que ça rentre.

C'est la même chose quel que soit le domaine.

Et c'est donc la même chose en anglais. Pour être bon, vous devez passer du temps à pratiquer l'anglais. Et ce temps, vous pouvez le compter en heures, en minutes… Ou aussi en répétitions en gardant en tête, comme Arnold Schwarzenegger, que chaque répétition vous rapproche de votre but. Comme il le dit :

[E]very rep and every set is getting me one step closer to my goal.

Rien ne remplace cela.


Bonus

Pour conclure, quelques infos et suppléments pour accompagner cet biographie d'Arnold Schwarzenegger.

Interview

Histoire de conclure avec de l'audio, vous pouvez retrouver une interview d'Arnold Schwarzenegger sur l'excellent podcast le Tim Ferriss Show. Ça se passe ici :

Bonne écoute.

Citations

Enfin, petit bonus, quelques citations, relevées dans la biographie, que j'ai trouvées intéressantes :

Sur le fait d'écrire ses objectifs :

I always wrote down my goals, like I’d learned to do in the weight-lifting club back in Graz. It wasn’t sufficient just to tell myself something like "My New Year’s resolution is to lose twenty pounds and learn better English and read a little bit more." No. That was only a start. Now I had to make it very specific so that all those fine intentions were not just floating around. I would take out index cards and write that I was going to:

• get twelve more units in college;
• earn enough money to save $5,000;
• work out five hours a day;
• gain seven pounds of solid muscle weight; and
• find an apartment building to buy and move into.

It might seem like I was handcuffing myself by setting such specific goals, but it was actually just the opposite: I found it liberating. Knowing exactly where I wanted to end up freed me totally to improvise how to get there.

Sur son accent et le fait de jouer sur ses différences :

Every time I was on the radio or TV, people became a little more familiar with my accent, the Arnold way of talking, and a little more comfortable and at ease with me. The effect was the opposite of what the Hollywood agents had warned. I was making my size, accent, and funny name into assets instead of peculiarities that put people off. Before long people were able to recognize me without seeing me, just by name or by the sound of my voice.

Sur le fait de développer sa confiance par la répétition :

weight training was a better confidence builder than, say, soccer. In soccer, sometimes you make a good kick and sometimes not, but in weight training, you know when you lift four plates that the next time you will be able to lift four plates. This predictability helped the kids gain confidence quickly.

Sur le fait d'utiliser des modèles et mentors :

When I wanted to know more about business and politics, I used the same approach I did when I wanted to learn about acting: I got to know as many people as I could who were really good at it.

Sur l'ambition et le fait de forger son propre chemin :

"What if I shoot to become one of Hollywood’s top five leading men?" People were always talking about how few performers there are at the top of the ladder, but I was always convinced there was room for one more. I felt that, because there was so little room, people got intimidated and felt more comfortable staying on the bottom of the ladder. But, in fact, the more people that think that, the more crowded the bottom of the ladder becomes! Don’t go where it’s crowded. Go where it’s empty. Even though it’s harder to get there, that’s where you belong and where there’s less competition.

Sur ce que pensent les autres :

I never argued with people who underestimated me. If the accent and the muscles and the movies made people think I was stupid, it worked to my advantage.

Sur le pouvoir des répétitions :

Then, as soon as you were done with the first set, you went to the wall and crossed off the first line so it became an X. All five lines would have to be turned into Xs before that exercise was done. This practice had a huge impact on my motivation. I always had the visual feedback of "Wow, an accomplishment. I did what I said I had to do. Now I will go for the next set, and the next set." Writing out my goals became second nature, and so did the conviction that there are no shortcuts.

Sur l'enfance :

Don’t blame your parents. They’ve done their best for you, and if they’ve left you with problems, those problems are now yours to solve.

Rules for Success

These Are Arnold Schwarzenegger's 5 Rules for Success | Goalcast

Les clés du succès selon Arnold Schwarzenegger

Liens

Plus d'infos sur Arnold Schwarzenegger et de quoi pratiquer votre anglais :

Fabien Snauwaert

Fabien Snauwaert

Créateur de BilingueAnglais.com, le site qui aide les francophones à devenir bilingues, depuis 2007.
Publié dans Comment apprendre l'anglais ?, le

Commentaires sur Comment Arnold Schwarzenegger a appris l'anglais

3 commentaires à date. Keep it up. 👏.

Fascinating! Thank you Fabien…

Salut.j'aimerais me joindre à vous

Illustration pour Dimitar Dimitrov
Dimitar Dimitrov

Bonjour,

Merci beaucoup pour votre intérêt ! Je vous invite à rejoindre notre newsletter !

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